Les croquis des châteaux forts viennent du blog du Chevalier Dauphinois.
Chateau
Récapitulatif des arguments:
Document: | Arguments qui plaident pour la présence de ce trésor à Gisors | Arguments qui infirment cette présence |
Le trésor des Templiers |
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Informations recueillies lors d'un entretien avec un historien |
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Document sonore |
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Proposition d'article:
L'existence du trésor des Templiers et sa présence au château de Gisors ont été les sources de nombreuses polémiques.En supplément:
À l'origine de ces rumeurs, essentiellement les dires du gardien du château, un certain Roger Lhomoy, qui aurait découvert dans les souterrains un important réseau de galeries mais surtout une chapelle romane souterraine qu'il décrit et dans laquelle il aurait vu des sarcophages de pierre et des coffres métalliques. Chose troublante, la présence de cette chapelle est attestée par un manuscrit du XVlIe siècle qui révèle son existence sous le donjon et la décrit. Mais il y a aussi tout ce qui a été dit sur le trésor lui-même. Ainsi, une tradition prétend que juste avant l'arrestation des Templiers, en octobre 1307, des chariots lourdement chargés auraient quitté le Temple de Paris en direction de l'ouest, de Gisors. Une rumeur semblable prétend que, après la fouille faite dans le château par l'armée en 1964, des camions apparemment chargés auraient quitté le château. Ces deux éléments concordent sur un point important, la présence - de 1307 à 1964 - du trésor des Templiers à Gisors. C'est enfin la parution en 1962 du livre de Michel de Sède, ou sont consignés tous ces faits, qui sème le doute dans les esprits. Le trésor des Templiers a-t-il jamais existé, existe- t-il encore, a-t-il été caché ou non dans les souterrains du château de Gisors, au nom prétendument chargé de sens, ou y serait-il encore ?
Pour les sceptiques, ce sont des arguments qui ne tiennent pas face à des faits concrets. En premier lieu, la référence faite aux chariots quittant Paris et aux camions quittant Gisors ressemble beaucoup à une histoire peu probable, une légende, car de tels déplacements attirent par trop l'attention. En second lieu, et c'est là sans doute l'argument le plus probant, aucune des fouilles effectuées n'a donné de résultat, n'a permis de croire à la présence du trésor des Templiers à Gisors. Que ce soit celles entreprises après les déclarations de Roger Lhomoy en 1946, ou encore les recherches archéologiques de 1960 et 1961, sans parler de l'échec officiel des fouilles réalisées par l'armée. Comment expliquer que la chapelle mentionnée dans le manuscrit du XVlIe siècle, soi-disant découverte par Lhomoy, n'ait jamais pu être retrouvée ? Comment les sarcophages et les coffres qu'il aurait vus auraient-ils disparu ? Comment imaginer qu'il n'ait pas essayé de les ouvrir afin de prouver sa découverte ? Comment expliquer enfin qu'il se soit résigné à abandonner les recherches et qu'il soit mort dans la misère s'il était sûr de ce qu'il avait affirmé au maire de Gisors mais aussi au général de Gaulle ?
Pour moi, ces dernières questions renforcent le doute sur la présence du trésor des Templiers à Gisors. Il y a sans doute une part de vérité dans tous ces éléments mais laquelle ? S'il est certain que les Templiers ont occupé Gisors, il est possible d'imaginer qu'eux-mêmes, en leur temps, aient cherché à le mettre en lieu sûr, par exemple à l'étranger .
Quoi qu'il en soit, c'est un sujet qui invite à rêver. ..
La fouine
Le furet
La bibliothèque du centre Pompidou et la Bibliothèque nationale de France.
Pour la maison: Exercices des pages 18 et 19 du cahier.
Vous avez écouté En Passant de Jean-Jacques Goldman.
Paroles:
Je courais sur la plage abritée des alizés
Une course avec les vagues, juste un vieux compte à régler
Pieds nus comme couraient mes ancêtres oh j'ai bien vu derrière ses lunettes
Un type avec un chronomètre
Je suis rentré au soir quand les vagues ont renoncé
Il était déjà tard mais les parents m'attendaient
Y avait l'homme bizarre à la table, ma mère une larme, un murmure
Des dollars et leur signature
J'ai pris le grand avion blanc du lundi
Qu'on regardait se perdre à l'infini
J'suis arrivé dans le froid des villes
Chez les touristes et les automobiles
Loin de mon ancienne vie
On m'a touché, mesuré comme on fait d'un cheval
J'ai couru sur un tapis, pissé dans un bocal
Soufflé dans un masque de toutes mes forces, accéléré
plein d'électrodes
Pour aller jusqu'où j'avais trop mal
On m'a mis un numéro sur le dos
Y avait des gens qui criaient, des drapeaux
On courait toujours en rond, des clous aux deux pieds pour écorcher la terre
Je la caressais naguère
J'ai appris à perdre, à gagner sur les autres et le temps
A coups de revolver, de course en entraînement
Les caresses étranges de la foule, les podiums
Et les coups de coude
Les passions, le monde et l'argent
Moi je courais sur ma plage abritée des alizés
Une course avec les vagues, juste un vieux compte à régler
Puis le hasard a croisé ma vie
Je suis étranger partout aujourd'hui,
Était-ce un mal, un bien ?
C'est ainsi
Une course avec les vagues, juste un vieux compte à régler
Pieds nus comme couraient mes ancêtres oh j'ai bien vu derrière ses lunettes
Un type avec un chronomètre
Je suis rentré au soir quand les vagues ont renoncé
Il était déjà tard mais les parents m'attendaient
Y avait l'homme bizarre à la table, ma mère une larme, un murmure
Des dollars et leur signature
J'ai pris le grand avion blanc du lundi
Qu'on regardait se perdre à l'infini
J'suis arrivé dans le froid des villes
Chez les touristes et les automobiles
Loin de mon ancienne vie
On m'a touché, mesuré comme on fait d'un cheval
J'ai couru sur un tapis, pissé dans un bocal
Soufflé dans un masque de toutes mes forces, accéléré
plein d'électrodes
Pour aller jusqu'où j'avais trop mal
On m'a mis un numéro sur le dos
Y avait des gens qui criaient, des drapeaux
On courait toujours en rond, des clous aux deux pieds pour écorcher la terre
Je la caressais naguère
J'ai appris à perdre, à gagner sur les autres et le temps
A coups de revolver, de course en entraînement
Les caresses étranges de la foule, les podiums
Et les coups de coude
Les passions, le monde et l'argent
Moi je courais sur ma plage abritée des alizés
Une course avec les vagues, juste un vieux compte à régler
Puis le hasard a croisé ma vie
Je suis étranger partout aujourd'hui,
Était-ce un mal, un bien ?
C'est ainsi
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